Son nom est Abdelhakim Belhaj. Certains au Moyen-orient ont peut-être entendu parler de lui mais en occident et ailleurs son nom est pratiquement inconnu.
Alors voici une séance de rattrapage. Parce que l’histoire de comment un agent d’Al-Qaeda a pu se retrouver haut-commandant militaire à Tripoli va – une fois de plus – briser l’immense champ de miroirs qu’est « la guerre contre le terrorisme » et compromettre sérieusement la propagande patiemment concoctée par l’OTAN sur son « intervention humanitaire » en Libye.
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